Ce débat vient d’atteindre Bruxelles où le Parlement européen et d’autres institutions européennes ont été assiégés par les grands acteurs des secteurs pétroliers et gaziers. Exxon Mobil, Halliburton, Statoil, Shell, PGNiG, Total, OMV et compagnie essayent non seulement de minimiser les dégâts écologiques et sociaux de la production de gaz de schistes, mais ils cherchent aussi à faire passer le gaz pour une option énergétique favorable aux climats dans un avenir moins carboné.